Un peu de silence, c'est parfois un luxe nécessaire. D'abord parce que lorqu'on voyage, le cyber-café n'est pas le lieu le plus propice à écrire, quand il y en a un. Ensuite parce que j'ai reçu avant de partir en vacances les motions préparatoires au prochain congrès du PS : quatre épais fascicules, cent cinquante pages peut-être, de textes les plus divers et les plus verbeux, où il faut pénétrer avec une débroussailleuse pour se faire un chemin.
Trop tôt pour en parler sur le fond. La richesse du parti socialiste, c'est la liberté absolue d'expression qui fait que chacun a le droit d'y dire ce qu'il veut, même s'il n'a rien à dire. Pour ma part, je préfère attendre d'avoir quelque chose à dire... J'aurais pu, comme certains, signer deux demi-douzaines de textes... mais ont-ils eu seulement le temps de lire tout ce qu'ils signaient ? Cela nous promet de belles discussions de rentrée !
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